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Tout a commencé avec une personne

Tout commence par un premier pas… Surfrider Europe aussi. En 1990, c’est une première pensée, suivie d’un premier geste, d’une première démarche, qui ont mené l’association là où elle est aujourd’hui. Le combat pour la protection de l’Océan a pris racine dans une action, puis un projet. Troisième volet d’une série dédiée aux 30 ans de Surfrider Foundation Europe, revenons sur les hommes et les femmes derrière l’association : tout a débuté avec un homme, Tom Curren, en 1990.  

Retour sur l’année 1990 : tout a commencé par une personne pour la création de Surfrider Europe.

Une personne : Tom Curren. 

Une année : 1990. 

Un événement : la compétition Planet Surf Initiative à Menakos en Espagne.  

Un lieu : Biarritz, où Surfrider Foundation Europe est fondée par Tom Curren à la suite de cet événement.  

Un projet : protéger le terrain de jeu des surfeurs. 

L’implication des citoyens : au cœur de l’identité de Surfrider Europe 

Dès l’origine de l’organisation, l’implication des citoyens est fondamentale pour les membres de Surfrider Europe. En 1997, les premiers sondages apparaissent : un questionnaire est joint au numéro de Planet Surf pour que les personnes ayant été malades après une baignade ou une session de surf puissent témoigner. On retrouve ce même intérêt pour les témoignages avec le sondage sur la future directive qualité des eaux de baignade ayant compté 980 internautes en 2019 ou encore la consultation publique lancée en 2020 sur la qualité de l’eau.  

L’avis de la population n’est pas seulement pris en compte sur la qualité des eaux de baignade mais peut également concerner le fonctionnement général de l’association ou d’autres sujets brulants. C’est ainsi qu’en 2006, une consultation est lancée auprès des adhérents et des sympathisants abonnés à la newsletter pour contribuer à l’élaboration du plan stratégique de 2007/2011. Celle-ci a récolté plus de 3000 réponses. Plus récemment, en 2018, la consultation citoyenne Voice for the Ocean, a réuni près de 7000 participants. 

L’implication des citoyens au sein de l’organisation ne passe pas uniquement par des réponses à des sondages. Ce sont d’abord des hommes et des femmes qui font de l’organisation ce qu’elle est aujourd’hui : membres du conseil d’administrations, salariés, ambassadeurs, stagiaires et services civiques sont autant de personnes qui, chaque jour, ajoutent leur pierre à l’édifice. Les mettre en avant, c’est tout l’objet des portraits Inside que vous pouvez retrouver sur le blog de Surfrider Europe.  

Enfin, nous ne le répéterons jamais assez, l’association ne serait rien sans l’engagement de ses bénévoles. La force de l’organisation vient de sa présence et de ses actions sur le terrain. Surfrider Europe compte 46 antennes bénévoles actives dans 12 pays. Elles engagent les communautés locales, organisent des événements et conduisent les missions de l’ONG sur le terrain. En 2019, ce sont 10 nouvelles antennes locales qui ont été créées, 90 nouveaux bénévoles qui ont rejoint les antennes et 6 nouvelles langues de traduction disponibles parmi les bénévoles de compétences. 

En 1990 comme en 2020, chacun, en tant que citoyen a le pouvoir de faire son geste pour l’environnement, en s’engageant par exemple aux côtés de Surfrider Europe. C’est tout l’objet de la campagne Just One Thing qui pousse chacun à s’engager pas à pas. Et vous ? Quel sera votre première action pour l’Océan ? N’hésitez pas à partager votre expérience sur les réseaux sociaux avec le #Just1Thing. Chaque citoyen est capable de lancer un mouvement.